Pourquoi les attentats par le mental sont-ils voulus ?
Le sous-préfet d’Istres veut que je sois expulsé à partir du 1er septembre 2016, et placé dans un appartement social éloigné de chez moi, ceci malgré ma lettre du 11 mai 2016 mise sur mon blog et intitulée : « Justificatifs de l’appel au peuple français ».
Le sous-préfet ne tient pas compte du fait que j’ai plus de 70 ans, alors que pour m’expulser, d’après la loi, on doit me reloger dans une maison de même dimension, soit 100 m2 + un grenier + un garage et une cave de 80 m2 et un loyer de même montant. Le sous-préfet, en ne tenant pas compte de cette loi qui est pourtant écrite sur Internet, prouve que l’on trompe les Français sur la moralité de la véridicité des lois, qui sont de ce fait détournées comme bon leur semble par ceux qui ont l’autorité. De ce fait, dans le logement que l’on me propose, je ne peux pas mettre mes meubles et en plus, il m’est très difficile de pouvoir déménager, car je suis seul et actuellement ma voiture a besoin d’une grosse réparation pour que je puisse l’effectuer et en plus je n’ai pas les moyens de l’entretenir. Le plus grave, c’est que je ne suis pas passé devant la commission d’expulsion qui est obligatoire d’après l’Association Service Médiation à Marignane.
De même, le sous-préfet ne tient pas compte des procédures qui sont en cours pour que l’on annule la vente de ma maison dont j’ai été spolié, ce qui est la raison pour laquelle je suis sous tutelle. Aussi, j’ai effectué la demande de grâce au Président de la République pour annuler mon expulsion ou la suspendre pendant une période de deux ans, le temps que j’arrive à réunir des fonds en tant qu’écrivain pour racheter ma maison. Donc, le plan pour y parvenir est dans la lettre que je lui ai adressée et qui est sur mon blog. De même, le juge de l’exécution a été de nouveau saisi à ce sujet pour retarder mon expulsion et le sous-préfet d’Istres n’en tient pas compte.
Au nouveau propriétaire, il a été reconnu par la justice que je suis à jour de mes loyers. Il se sert d’un jugement rendu sur des faux pour prévaloir que je devrais un an de loyer à l’ancien propriétaire, M. D’ANTONI, qui lui a illégalement vendu ma maison et ceci sans que je le sache. Alors qu’il me doit de l’argent pour m’avoir abusé et « volé » lors de la vente, comme le prouve la lettre du 11 mai déjà citée, mise sur mon blog. Pourtant, j’en ai informé le Procureur général, afin qu’il fasse la demande du justificatif du trop-perçu de mes loyers au notaire. Maître Pelletier, notaire à Marseille, lors de la vente a dit en présence de M. Rémy SARLANGA, qui est hébergé chez moi, qu’il gardait dans son dossier le décompte de M. D’ANTONI au cas où la justice lui demanderait. Si on lui avait demandé, je ne serais pas victime d’une erreur judiciaire voulue, pour être expulsé pour non-paiement de loyer.
Le nouveau propriétaire a acheté la maison, dont une grande partie ne m’a pas été payée par M. D’ANTONI, en commettant un abus de bien social. Il a enlevé mon portail en bande organisée sous le nez de la police et a menti au sous-préfet et à la police en disant que ce n’était pas lui qui l’avait enlevé. Ceci dans l’intention de me cambrioler, et si je ne l’ai pas été, c’est parce que je suis protégé par une alarme. Par contre, M. BRUN, son locataire, a été l’objet de deux vols. Ces cambriolages ont permis de faire casser les meubles de M. BRUN pour le faire partir, ceci d’après M. SARLANGA qui était en bons termes avec ce dernier.
- Le nouveau propriétaire a fait remettre au bout de deux ans le portail pour son nouveau locataire, ce qui prouve que c’est bien lui qui l’a fait enlever pour me faire cambrioler, la caméra dans la rue aurait pu en attester.
- Le nouveau propriétaire a fait l’objet de 12 plaintes dont plusieurs pour menaces de mort, dont une envers M. SARLANGA en lui disant qu’il allait lui ouvrir le ventre et l’égorger en ayant derrière lui l’armée du Djihad islamique. Ceci a fait l’objet d’une plainte déposée au commissariat de Marignane. Et cela, peu avant les attentats de Paris, le nouveau propriétaire étant protégé par la police ou tout au moins par un policier pour avoir été déjà condamné. Pendant une période, le nouveau propriétaire est venu tous les jours taper à ma porte en disant que si je sortais, il me tuerait ou que par la peur il me ferait mourir d’une crise cardiaque, et qu’il ne craignait pas la police et qu’elle ne prendrait pas mes plaintes. En effet, la police n’a pas pris ma plainte. Aussi, j’en ai informé le Procureur général et le commissaire du commissariat de Marignane, ce qui lui a valu d’être placé en garde à vue. Par la suite, la police a repris mes plaintes, et le nouveau propriétaire ne m’a plus menacé de mort. Cela m’a permis de faire un rapport au Président de la République et de l’informer de la manière dont allait se développer le djihadisme en France, avant que l’attentat ait lieu contre Charlie Hebdo. Ce qui est relaté sur le fond dans un article sur mon blog intitulé : « La venue de l’ère du surmental va-t-elle réduire le terrorisme ? »
De plus, il est inadmissible que la justice ne sanctionne pas le nouveau propriétaire, d’avoir fait justice lui-même (sa charia) en me privant d’eau et de tout-à-l’égout, et ceci depuis plus de deux ans, en ayant enlevé et écrasé l’installation d’eau ainsi que celle évitant l’inondation de ma cave en cas de forte pluie, ceci suivant le constat de l’huissier ci-joint. De ce fait, le jugement qu’il a obtenu sur des faux devant la Cour d’appel pour que je sois expulsé devrait être annulé pour finalement donner un sens à la justice concernant mon affaire, car vivre sans eau ni tout-à-l’égout depuis plus de deux ans mérite au moins que j’obtienne cette réparation.
Le terrorisme et des actes de déséquilibrés pour faire le maximum de morts comme récemment à NICE et avant comme le crash d’un avion de la Germanwings dans les Alpes françaises qui ont précipité dans la mort 150 passagers, sont la conséquence d’un mental déséquilibré. Mais, c’est le mental qui dans sa généralité est déséquilibré pour être sous la domination de l’inconscient. Aussi, des psychiatres sont des criminels de paix, alors que le stress et le dérèglement mental non voulu devraient permettre de muter l’être humain dans le sens de son désir, comme je le prouve dans mes écrits. Aussi, le terrorisme, les attentats comme la folie dans le monde, s’ils sont inacceptables, se comprennent. Il n’y a qu’un seul moyen de les réduire, c’est que l’être humain cherche à se connaître en voulant développer son conscient au détriment de son inconscient, afin de transmuter son cerveau dans le sens de son désir. Sinon, il ne peut pas combattre l’esprit du mental pour l’améliorer efficacement par son mental, si ce n’est en prenant le risque d’en aggraver les résultats, comme souvent cela est, en ce qui concerne le domaine des sciences humaines et de l’esprit.
La venue de l’ère du surmental est inéluctable et seul le surmental peut réduire les maux de notre société. Ceci, vous pouvez en prendre conscience en vous informant sur www.surmental.info. Le mental, lui, ne le peut pas, s’il n’évolue pas. Aussi, il s’enferme sur lui-même d’une manière voyante comme ceux qui commettent des attentats, et qui sont victimes de la justice, de la médecine, de la psychiatrie, etc., du fait que l’enseignement repose sur l’inconscient. Aussi, il dépend de vous, lectrices et lecteurs, d’inverser le plus rapidement possible l’éducation et l’instruction, pour les adapter à notre évolution en empêchant, suivant vos moyens, mon expulsion. Croyez-moi, sortir du mental est plus facile que ce que vous pensez pour vous libérer en partie de l’inconscient, vous n’avez qu’à me lire. C’est différent pour moi, car je me heurte à l’inconscient, d’où les difficultés que je suis en train de traverser et celles que vous rencontrerez dans mes livres sans être obligés de les subir. Ma chance est d’avoir été infirmier à l’armée en neuropsychiatrie et de m’apercevoir de l’ignorance humaine dans ce domaine. Ignorance dont ont été victimes l’individu qui a commis l’attentat de Nice et le copilote qui a précipité 150 personnes dans la mort. Sans compter tous ceux qui sont malades et qui ne le devraient pas l’être, si on leur avait appris à élever leur conscient au détriment de leur inconscient et non l’inverse sans qu’ils s’en rendent compte à cause d’une instruction et d’une éducation inadaptées, dont moi-même je suis victime, ce qui m’oblige à les dénoncer pour que nous vivions dans un monde meilleur.
Vous savez que l’on donne des milliards à la recherche, et souvent pour rien, si ce n’est pour rendre les gens encore plus malades par rapport aux résultats obtenus à cause du mental. Par contre, je ne perçois rien, si ce n’est la lettre du sous-préfet pour me signaler « qu’il réactivait la force publique à compter du 1er septembre 2016 pour m’expulser » et même avant puisque ma tutrice a rempli sans mon accord la demande d’un logement, alors qu’elle m’avait promis de retarder mon expulsion. Les chercheurs ont besoin de sortir de leur mental pour évoluer, et de donner un plus grand sens à leurs recherches, car « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». C’est ce savoir que le surmental apporte à la science. Aussi, est-ce que je ne mérite pas que vous me souteniez ?
Ce que j’écris n’est rien par rapport à ce que je pourrais écrire et ceci va vers l’infini, car la connaissance est fonction du savoir et du temps. Aussi, il dépend de vous de l’acquérir dans la direction de votre désir, et en me soutenant, vous m’aiderez à remporter une victoire contre l’inconscient qui a tout fait pour me ruiner, et ceci va bien au-delà, car il est très puissant, afin d’empêcher la connaissance de percer et que les êtres humains ne puissent pas l’acquérir.
Merci de faire suivre ce message sur les réseaux sociaux ainsi qu’à vos élus.
PS Message envoyée à M. le Président de la République, M. le Premier Ministre, M. le ministre de l’Economie et du Numérique, Mr le Procureur Général, M. le Préfet, M. le sous-préfet, M. le Maire de Marignane et aux élus.
Fait à Marignane le 20 juillet 2016 Jean Claude MARIE
PS : Message à M. le Président de la République, M. le Premier Ministre, M. le ministre de Économie et du numérique, M. le Procureur général, M. le Préfet, M. le sous-préfet, M. le Maire de Marignane et aux élus.